Saint-Loup
Edité par Arjuna
Translated by R.G. Fowler
Illustration: Saint-Loup (Marc Augier) 1908-1990.
Adolf Hitler and WW II
Götterdämmerung, 1949:
« [Adolf Hitler] est un prophète. Il est porteur de la Tradition primordiale. C’est l’artisan d’une nouvelle religion qui va naître et remplacer le christianisme, cette religion du désert. (...) La fin de la guerre, si nous la perdions, ne signifierait pas la fin de la lutte. La ‘voix du sang’ chez tous les peuples blancs, jaunes ou noirs, a été réveillée par nous. La conception de l’homme-orphelin coupé de ses racines, imposée par les philosophes du XIXe siècle, nous l’avons bouleversée (...) Nous disparus, le National-socialisme poursuivra sa révolution dans toutes les consciences. »
“[Adolf Hitler] is a prophet. He carries on the primordial Tradition. He is the artisan of a new religion that will be born and replace Christianity, this religion of the desert. (...) The end of the war, if we lose it, would not mean the end of the fight. The ‘voice of blood’ among all people, white, yellow, or black, was awaked by us. The conception of the orphan-man, cut off from his roots, imposed by the philosophers of the nineteenth century, we overturned it (...) We disappear, National Socialism will continue its revolution in all minds.”
* * *
« [Hitler était] l’homme qui avait jeté au monde ce prodigieux défi : attaquer en même temps le capitalisme anglo-saxon, le bolchevisme rouge, le racisme juif, la franc-maçonnerie internationale, l’Eglise catholique, le paupérisme et les iniquités sociales, le traité de Versailles, le colonialisme, la pagaille française et la Home Fleet. »
“[Hitler was] the man who had thrown to the world this extraordinary challenge: to attack at the same time Anglo-Saxon capitalism, Red Bolshevism, Jewish racism, international freemasonry, the Catholic Church, pauperism and social iniquities, the treaty of Versailles, colonialism, the French mess, and the Home Fleet.”
Les nostalgiques [The Nostalgics], 1967:
« Voici deux mille ans il existait, paraît-il, un certain Jeschouang, ou Jeschoua, dit Jésus, qui, devant le Grand Sanhédrin de Jérusalem – le tribunal de Nuremberg de l’époque – fut condamné comme l’homme le plus abominable de son temps, le plus criminel de l’histoire de l’humanité. On dit qu’il ressuscita après son supplice, comme Hitler. (…) Hitler est ressuscité en tant qu’homme ‘au-dessus du temps’. Il préside à la renaissance de l’âge d’or qu’il annonce pour la fin du millénaire ouvert par sa mort. (…) Hitler prend la relève de Jésus comme puissance protectrice des Aryens. »
“Here two thousand years ago there existed, apparently, a certain Jeschouang, or Jeschoua, known as Jesus, who, in front of the Great Sanhedrin of Jerusalem—the Nuremberg Tribunal of the time—was condemned as the most abominable man of his time, the most criminal in the history of humanity. It is said that he was resurrected after his torment, like Hitler. (…) Hitler is resurrected as a man “above time.” He governs the rebirth of the golden age which he announces for the end of the millennium opened by his death. (…) Hitler takes the place of Jesus as protective power of the Aryans.”
Une moto pour Barbara [A Motorcycle for Barbara], 1973:
« Il était une fois, voici seulement un demi-siècle, un groupe d’hommes qui venaient de réviser toutes les valeurs fondamentales sur lesquelles l’Europe vivait depuis près de deux mille ans. Ils appartenaient à toutes ou presque toutes les nations du vieux continent, mais formaient une seule famille spirituelle. Un membre de cette famille proclama la révolution des Aryens avec une rare imprudence et des moyens trop faibles pour qu’elle puisse aboutir. Après avoir lutté à un contre mille pendant six ans, consenti des sacrifices inouïs, il monta sur le bûcher des hérétiques, comme les Templiers et les Cathares. Ses compagnons les plus connus l’imitèrent. Le Commandeur des Aryens payait ainsi, et faisait payer à son peuple, l’erreur grave commise au départ : avoir confondu la révolte éthique et esthétique, dont il avait reconnu la nécessité, avec l’appétit de terres et de biens (…) cette grande guerre de religion… avait dissimulé son vrai visage sous le patriotisme… »
“There was once, only a half a century ago, a group of men who came to revise all the fundamental values on which Europe lived for nearly two thousand years. They belonged to all, or almost all, the nations of the old continent, but formed a single spiritual family. A member of this family proclaimed the revolution of the Aryans with a rare imprudence and means too weak to succeed. After having fought countless enemies for six years, consenting to amazing sacrifices, he ascended to the pyre of the heretics, like the Templars and Cathars. His best-known companions imitated him. The Commander of the Aryans thus paid, and made his people pay, for the serious error made at the beginning: to have confused the ethical and aesthetic revolt, for which he had recognized the necessity, with the appetite for land and goods (…) this great war of religion … had dissimulated its true face under patriotism…”
J’ai vu l’Allemagne [I Saw Germany], 1941:
« De par sa position géographique, la France ne peut être fédératrice du continent européen. Elle est isolée, perdue dans l’Atlantique. Si Napoléon avait eu sa capitale à Vienne il aurait réussi plus d’un siècle avant Hitler. »
“Because of its geographical position, France cannot be the federator of the European continent. It is isolated, lost in the Atlantic. If Napoleon had had his capital in Vienna, he would have succeeded more than a century before Hitler.”
Götterdämmerung:
« …les chasseurs américains à grand rayon d’action entraient en scène. L’équilibre des forces aériennes se trouvait rompu, le ciel d’Allemagne ouvert dans toute son étendue aux bombardiers lourds.
Tout de suite après, il y eut la nuit de Charlottenburg, le commencement de l’Apocalypse. L’ouest de Berlin flamba pendant trois jours et trois nuits. La pluie de phosphore tombait du ciel sous forme de boules rouges et bleues qui se déformaient, s’étiraient comme de la pâte, s’écrasaient sur les toits, ruisselaient dans les rues. Ce fut un autodafé fantastique. On brûla les églises, les hôpitaux, les restaurants, les maternités, les immeubles résidentiels, les musées et les éléphants du zoo, pêle-mêle avec les casernes, les dépôts, les administrations. Les femmes couraient dans les rues en flambant mieux que des torches. On brûla les femmes et les enfants allemands comme de la mauvaise herbe, et, en même temps, les prisonniers français, les ouvriers belges, russes, bulgares, grecs, hollandais, polonais.
Quand l’ouest de Berlin cessa de brûler, ceux qui s’aventurèrent dans le désert de pierres et de cendres chaudes restèrent frappés de stupeur. Trois jours avaient suffi pour recréer Pompéi.
(…) La nouvelle technique du tapis de bombes ‘area bombing’ démontrait son efficacité. Franklin Delano Roosevelt pouvait transposer la parole fameuse : ‘l’herbe ne repousse plus’. »
“. . . the long-range American fighters entered the scene. The balance of air forces was broken, the sky of Germany open to its full extent to the heavy bombers.
Immediately after, was the night of Charlottenburg, the beginning of the Apocalypse. The west of Berlin flamed for three days and three nights. The phosphorus rain fell from the sky in the form of balls of red and blue which became deformed, stretched themselves like paste, were crushed on the roofs, flowed in the streets. It was a fantastic auto-da-fé. They burned the churches, the hospitals, the restaurants, the nurseries, the residential buildings, the museums, and the elephants of the zoo, willy-nilly with the barracks, the depots, the administration buildings. Women ran in the streets burning brighter than torches. They burned the German women and children like weeds, and, at the same time, the French prisoners, the Belgian, Russian, Bulgarian, Greek, Dutch, and Polish workmen.
When the west of Berlin ceased burning, those who ventured in the desert of stones and hot ashes remained struck with stupor. Three days had been enough to recreate Pompeii.
(…) The new technique of carpet bombing—‘area bombing’—showed its effectiveness. Franklin Delano Roosevelt could transpose the famous saying: ‘the grass does not fight back’.”
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« [A Sigmaringen] …la France qui, depuis Saint Louis jusqu’à Pétain s’était ordonnée autour de la même conception du monde, descendait au fond de l’abîme où s’engloutissait l’Allemagne d’Hitler. (…) La France celte et germanique se couchait aux cotés de sa sœur pour mourir…Elles avaient essayé de se rencontrer en s’apercevant qu’un monde d’ennemis les pressait de toutes parts et qu’il fallait vaincre ou mourir ensemble. Le destin se prononçait pour la mort. Celtie et Germanie s’allongeaient, couvertes de blessures, se tenant par la main, enfin réconciliées, établissant de leurs lèvres froides le bilan des fautes commises qui, en trois guerres, avaient livré aux étrangers les clefs de l’Europe… »
“[At Sigmaringen]… France which, from Saint Louis to Pétain had ordered itself around the same conception of the world, went down to the bottom of the abyss that engulfed Hitler’s Germany. (…) Celtic and Germanic France lay down alongside her sister to die … They had tried to come together by realizing that a world of enemies pressed them on all sides and that it was necessary to conquer or die together. Destiny decided for death. Celtia and Germania stretched out, covered with wounds, hand in hand, finally reconciled, their cold lips settling the account of the errors of commission which, in three wars, had delivered abroad the keys of Europe …”
Post-War Society
Götterdämmerung:
« [en 1945] La terreur internationale soufflait de l’est, de l’ouest et balayait toutes les routes du ciel. Qui a vécu de telles heures ne peut jamais plus être abusé par les grimaces de la Bête. Aujourd’hui elle remet son masque, parle suffrage universel, humanisme, charité, défend les droits de la ‘personne humaine’, la liberté de pensée, tous les mythes qu’elle a sucés à même notre sang. Mais nous avons une fois entrevu son vrai visage alors que, démasquée dans l’ardeur du combat, elle luttait pour reconquérir son pouvoir. Nous restons pour toujours immunisés ! »
“[In 1945] international terror blew in from the east, from the west, and swept all the routes of the sky. Who has lived through such hours can never be deceived again by the grimaces of the Beast. Today it wears its mask, speaks of universal suffrage, humanism, charity, defends the rights of the ‘human person,’ the freedom of thought, all the myths by which it had sucked our very blood. But we once saw its true face, uncovered in the ardor of combat, as it fought to reconquer its power. We remain for forever immunized!”
Article dans La Gerbe [The Sheaf], mai/May 1943:
« Comment ne pas rester confondu devant cette dualité : le capitalisme et le communisme qui semblent s’exclure l’un l’autre et qui, pourtant, avec des moyens différents, poursuivent des fins rigoureusement identiques. »
“How not to remain confused before this duality: capitalism and Communism which seem to exclude one another and which, however, by different means, pursue exactly the same ends.”
La République du Mont-Blanc [The Republic of Mount Blanc], réédition, 1983:
« La France, et non seulement elle mais tous les autres pays européens trahis par leur propre gouvernement, est en train de construire la tour de Babel dont les légendes judéo-chrétiennes ont parlé. (…) La République du Mont-Blanc lutte contre Babel, c’est-à-dire contre la confusion des races et des langues. »
“France, and not only it but all the other European countries betrayed by their own governments, is building the tower of Babel about which the Judeo-Christian legend spoke. (…) The Republic of Mont Blanc fights against Babel, i.e., against the confusion of races and languages.”
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« La France se trouve aujourd’hui clandestinement dirigée par un peuple orgueilleux et dominateur qui lui assigne une position mondialiste aussi séduisante que dangereuse. »
“France today is clandestinely directed by a proud and domineering people that assigns himself a global position as seductive as it is dangerous.”
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« La société de consommation est monothéiste ; un seul Dieu : le fric. »
“Consumer society is monotheist; only one God: money.”
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« Quand on s’est trompé, il faut toujours aller jusqu’au bout de ses erreurs. »
“When one is mistaken, it is always necessary to go forward to the end of one’s errors.”
Heroic and Aesthetic Life
Les skieurs de la nuit [Skiers of the Night], 1944:
« Il s’agit pour l’individu de puiser aux sources de vie héroïques et esthétiques, de recevoir par conséquent l’enseignement du combat naturel et de tout ce qu’il implique : sélection des aristocraties par le combat de la vie, notion nouvelle du droit qui s’établit par l’action du plus fort et du meilleur, enfin recherche et application de la notion de beauté et de grandeur véritables. »
“It is a question for the individual of drawing from sources of heroic and aesthetic life, to receive consequently the teaching of natural struggle and all that it implies: selection of aristocracies by mortal combat, the new notion of right which is established by the action of the strongest and best, in short, the pursuit and application of the concept of true beauty and greatness.”
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« Les inspirés ont raison. La lumière vient du nord… (…) Quand je me tourne vers le nord, je sens, comme l’aiguille aimantée qui se fixe sur tel point et non tel autre de l’espace, se rassembler les meilleures et les plus nobles forces qui sont en moi. »
“The inspired are right. The light comes from the north… (…) When I turn north, I feel drawn, like the magnetized needle which is fixed on this point in space and none other, to gather the best and the noblest forces within me.”
Götterdämmerung:
« ...certaines expressions comme celle-ci [le sourire de l’ange de la cathédrale de Reims] valent toutes les philosophies. Ce sourire ouvre l’intelligence de la beauté. Et nous voulons que la beauté entre dans le cœur du soldat SS... Nous sommes des professeurs d’esthétique et de noblesse... Nous voulons assurer la suprématie de la race blanche sur l’univers pour deux mille ans. Le principe esthétique, base de la conception de vie SS, n’est pas divisible. »
“… certain expressions like this one [the smile of the angel of the cathedral of Rheims] are worth all philosophies. This smile opens the intellect to beauty. And we want beauty to enter the heart of the SS soldier … We are professors of aesthetics and nobility… We want to ensure the supremacy of the white race in the universe for two thousand years. The aesthetic principle, base of the SS conception of life, is not divisible.”
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« Les ‘hommes d’en-bas’ nous poursuivent de leur haine, parce qu’ils savent que nous défendons une conception aristocratique de la vie. »
“The ‘men downstairs’ continue in their hated of us, because they know that we defend an aristocratic conception of life.”
Les partisans [The Partisans], 1943:
« Le combat est la meilleure et la plus impitoyable sélection des aristocraties. »
“Combat is the best and the most pitiless selection of aristocracies.”
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« La guerre nous a révélé le sens de la vie, qui n’est en aucune manière pacifiste. »
“The war revealed to us the meaning of life, which is not in any way pacifist.”
Race and Morality
Nouveaux cathares pour Montségur [New Cathars for Montségur], 1969:
« La nature qui se moque bien de ce que vous pensez, progresse dans un sens exclusivement sélectif, donc raciste. »
“Nature which rightly mocks what you think, progresses in an exclusively selective, therefore racist, direction.”
La République du Mont-Blanc:
« Nous avons besoin d’une morale nouvelle, biologiquement fondée. La nature ne peut pas tolérer plus longtemps celle que nous recevons de penseurs religieux ou de philosophes délirants. »
“We need a new morality, biologically founded. Nature can no longer tolerate what we have received from religious thinkers or delirious philosophers.”
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« La femme est beaucoup plus responsable de l’avenir que l’homme. Elle représente le berceau du peuple qui naît. Il nous importe peu qu’un Savoyard, un Valdotain ou un Valaisan baise les Négresses en courant le monde. Mais si une femme de chez nous couche avec un Noir, l’enfant sera considéré comme un étranger par le tribunal du peuple et immédiatement chassé, d’une manière ou d’une autre. Je n’invente rien. C’est la loi officielle la plus importante pour le peuple juif vivant aujourd’hui en Israël. »
“Woman is much more responsible for the future than man. She represents the cradle of people who are born. It matters little that a Savoyard, Valdotain, or Valaisan man screws Negresses while running around the world. But if a woman of our place lays down with a Black, the child will be regarded as a foreigner by the tribunal of the people and immediately driven out, in one way or another. I do not invent anything. It is the most important official law for the Jewish people living today in Israel.”
Les nostalgiques:
« Mes amis et moi ne sommes pas racistes dans le sens agressif que votre législation d’après-guerre donne à ce mot. Nous sommes seulement des hommes de race blanche qui venons de retrouver notre conscience raciale et la tenons pour déterminante dans tous les actes de la vie et pour l’avenir de notre descendance responsable de l’essor de la civilisation. C’est notre droit le plus strict. »
“My friends and I are not racists in the aggressive sense that your legislation of the post-war period gives this word. We are merely men of the White race who have just recovered our racial consciousness and regard it as determinative of all acts of life and for the future of our offspring responsible for the rise of civilization. It is our most strict law.”
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« En disparaissant, nous laisserons un message d’une telle importance que lorsqu’il sera révélé, toutes les idoles perdront leur masque, tous les peuples blancs se rassembleront derrière la nouvelle frontière de la race pour essayer de survivre. »
“While disappearing, we will leave a message of such importance that when it is revealed, all the idols will lose their masks, all White people will gather behind the new frontier of the race to try to survive.”
Religion
Les Hérétiques [The Heretics], 1965:
« Le christianisme a construit sa fortune sur la lie biologique du monde romain, et ne s’est maintenu qu’en faisant appel à la faiblesse naturelle de l’homme, en substituant l’image fallacieuse du paradis aux dures réalités terrestres. »
“Christianity founded its success on the biological dregs of the Roman world, and was maintained only by appealing to the natural weakness of man, by subsituting the fallacious image of paradise for hard terrestrial realities.”
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« …tout le fatras de la pensée orientale, judaïsme, christianisme, ces anneaux d’une même chaîne qui paralyse l’homme blanc depuis Héraclite. L’homme blanc est un géant enchaîné qui dort depuis des millénaires… »
“… all the hodgepodge of Eastern thought, Judaism, Christianity, these links of the same chain which paralyzes the White man since Heracleitus. The White man is a chained giant asleep for millenia…”
Götterdämmerung:
« Toute religion est fille de la race qui l’a vue naître. »
“Any religion is daughter of the race that knew it from birth.”
The Holy Grail
Nouveaux cathares pour Montségur:
« Depuis 5.000 ans, et sans doute plus – une seconde à l’échelle des espèces vivantes – un combat impitoyable se livre entre le peuple juif et les stupides Aryens pour la conquête du monde. Les Juifs… avancent d’un pas ferme sur la route qu’ils choisirent une fois pour toutes, sans jamais trahir leur dessein primitif, parce qu’ils possèdent des Tables de la Loi. Les Aryens ont perdu les leurs, c’est-à-dire le Graal… qui leur donnaient la ligne d’une continuité historique : d’où leur démarche chaotique, ces actions contradictoires, ces hésitations à choisir entre la loi de l’esprit et celle de la matière, l’impossibilité d’une véritable affirmation. Quand ils écrasèrent les Juifs, leur barrant la route de la domination ‘mondiale’ pour plusieurs siècles, ce ne fut jamais en pleine connaissance de cause. Simplement l’instinct animal… Le danger écarté pour quelque temps, ils retournent à leur vomissement. Ils ont perdu leur direction de conscience, leur Graal, alors que les Juifs ont sauvé le leur… »
“For 5,000 years, and no doubt more—only a second on the scale of living things—a pitiless combat has been waged between the Jewish people and the stupid Aryans for the conquest of the world. The Jews … advance with a firm step on the road that they chose once and for all, without never betraying their original intention, because they have Tables of the Law. The Aryans lost theirs, i.e., the Grail … which gave them their line of historical continuity: whence their chaotic gait, these contradictory actions, these hesitations to choose between the law of the spirit and that of matter, the impossibility of a true affirmation. When they crushed the Jews, barring to them the road to ‘world’ domination for several centuries, it was never in full knowledge of the cause. Simply animal instinct … The danger isolated for a while, they returned to their vomit. They lost their guide of awareness, their Grail, whereas the Jews saved theirs…”
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« Le Graal est devenu un mythe, à partir d’une réalité vivante, selon un processus d’évolution classique. Les chrétiens ont volé ce mythe aux païens, comme ils volèrent tous leurs lieux sacrés en édifiant des églises sur les ruines des temples. (…) il ne peut s’agir que d’un trésor païen et aryen. Les tablettes du Graal sont passées par la Perse. Comment y arrivèrent-elles, sinon dans les bagages des conquérants nordiques ? D’où venaient les Scythes et les Mèdes, sinon des plaines du Danube et du Don ? Et d’où provenaient les premiers occupants de ces régions, sinon du royaume boréal, de la civilisation de Thulé ? Le Graal est probablement le dernier message envoyé par les Hyperboréens avant leur disparition. »
“The Grail became a myth, starting from a living reality, according to a classic process of evolution. The Christians stole this myth from the pagans, as they stole all their sacred places by building churches on the ruins of temples. (…) it can only be a pagan and Aryan treasure. The tablets of the Grail passed through Persia. How did they arrive there, if not in the baggage of Nordic conquerors? From where did the Scythians and Medes come, if not from the plains of the Danube and the Don? And from where came the first occupants of these regions, if not the boreal kingdom, the civilization of Thule? The Grail is probably the last message sent by the Hyperboreans before their disappearance.”
Une moto pour Barbara:
« Le Graal, c’est la goutte de sang pur qui a existé en chacun de nous aux premiers âges du monde, et que chacun de nous a plus ou moins trahie, par ignorance des lois naturelles, légèreté, indifférence. »
“The Grail, it is the drop of pure blood which has existed in each one of us from the first ages of the world, and which each one of us more or less betrayed, by ignorance of the natural laws, irresponsibility, indifference.”
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« Le Graal est en toi … c’est la goutte de sang primitif qu’il te faut sauver d’une mésalliance et ensuite multiplier comme mère. De génération en génération, par des unions soigneusement méditées, tu ressusciteras en créature digne des origines de ta lignée. Le Graal est aujourd’hui un mythe scientifiquement fondé. »
“The Grail is in you … it is the drop of primitive blood which it is necessary to save from miscegenation and then to multiply as mother. From generation to generation, by carefully contemplated unions, you will revive a creature worthy of the origins of your line. The Grail is today a scientifically founded myth.”
Autobiographical Note
Götterdämmerung:
Loup était évêque de Troyes au Ve siècle, quand sa ville fut investie par Attila. Il négocia avec lui pour qu’elle soit épargnée. Elle le fut ! Il raccompagna le chef des Huns au-delà du Rhin après sa défaite des Champs catalauniques en 451 en signe de reconnaissance pour sa mansuétude passée. Pour cette initiative, il fut accusé par Mérovée, chef des Francs saliens, de collaborationnisme et d’intelligence avec l’ennemi, expulsé de son évêché dans lequel il était si populaire qu’il fallut le lui restituer et plus tard le canoniser. Il devint Saint Loup.
Pour tenter de protéger l’Europe de la Russie, avec Hitler, en se battant dans la Légion des Volontaires Français contre le bolchevisme, Marc Augier fut aussi accusé par l’héritier abusif de Mérovée, Charles de Gaulle, de collaborationnisme et d’intelligence avec l’ennemi, condamné à la peine de mort, interdit comme écrivain avec 240 confrères, dont quelques minus : Giono, Abel Hermant, Sacha Guitry, Montherlant. Il me fallait donc trouver des refuges. J’en conquis un comme conseiller technique de l’armée de montagne des Andes, l’autre à la Bibliothèque nationale où Saint Loup me transmit le pseudonyme qu’il détenait depuis Mérovée. C’est lui qui signa mon nouveau livre « Face Nord » écrit au Tyrol en 1942, chez Leni Riefenstahl. J’en rapportai le manuscrit dans mon sac de dos, parmi des cohortes de pseudo alpinistes à visage d’assassin.
Loup was a bishop of Troyes in the fifth century, when his city was besieged by Attila. He negotiated with him so that it was saved. That was it! He accompanied the chief of the Huns back beyond the Rhine after his defeat on the Catalaunian fields in 451 as a sign of recognition of his past leniency. For this initiative, he was accused by Meroveus, chief of the Salian Franks, of collaborationism and spying for the enemy, and expelled from his bishopric in which he was so popular that it was necessary to restore it to him and later to canonize him. He became Saint Loup.
For trying to protect Europe from Russia, with Hitler, while fighting in the Legion of the French Volunteers against Bolshevism, Marc Augier was also accused by the abusive heir to Meroveus, Charles deGaulle, of collaborationism and spying for the enemy, condemned to death, prohibited as writer with 240 fellow members, including such poor fellows as: Giono, Abel Hermant, Sacha Guitry, Montherlant. I thus had to find refuge. I found work as technical adviser of the mountain army of the Andes, then at the National Library where Saint Loup transmitted to me the pseudonym that he held since Meroveus. It is he who signed my new book Northern Face written in the Tyrol in 1942, at Leni Riefenstahl’s. I brought back its manuscript in my rucksack, among troops of pseudo-mountaineers with the faces of assassins.